Voici un peu de la flore et de la faune photographiées au mois de janvier 2016.
En note: des anecdotes et caractéristiques originales.
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27 et 29 janvier 2016 - Canard chipeau
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| Canards chipeau (27 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Canard chipeau (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Canard chipeau (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
Visiteur
des périodes froides, Le Canard chipeau aime les eaux profondes aux
végétations nombreuses. Hors période de reproduction, il mange le
non-animal : herbes, plantes aquatiques et graines. Lors de la période
nuptiale et de reproduction, son assiette est moins végétarienne :
insectes et petits vertébrés, et quelques plantes. C’est qu’ils ont
besoin d’énergie : l’on assiste à des courses effrénées où un ou deux
Don Juan poursuivent une femelle de façon insistante…
27 et 29 janvier 2016 - Cygne tuberculé
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| Cygne tuberculé (27 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (27 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (27 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
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| Cygne tuberculé (29 janvier 2016 - Forêt de Soignes) |
Une
élégance ondulante et blanche de plumes aérées perce la surface d’une eau
calme. Le Cygne magnifie la pluie apaisée. Il est calme, silencieux. Le lac
semble le remercier pour la féérie esthétique qu’il lui offre. Nos yeux au
moins s’en réjouissent. Calme, du moins le paraît-il car que l’on ne vienne le
déranger, surtout à la période de parentalité, il se révèlera ardent défenseur
de ses biens. Ne pensez pas passer inaperçu-e : sa vue et son ouïe sont
bien pensées. Le calme profite des courbes enneigées de l’oiseau puis soudain l’eau
claque : voici le Cygne qui s’envole. Ses immenses ailes frappent l’air,
ses pieds se mettent à courir sur l’eau. Le voilà le miracle : le Cygne
court sur l’eau. Après une longue course ailée, il s’élance dans le bourdonnement de son vol puissant qui se fait
entendre à plusieurs dizaines de mètres de distance. Le lourdaud devient
vitesse : il peut voler à plus de 80km/h. Et le voilà dans les airs à
penser à ses vingt années d’existence sauvage qu’il occupera à charmer les femmes
et les hommes, les eaux et les airs. Peut-être pense-t-il aussi à ce siècle
dernier où il avait disparu de régions entières chassé sans retenue.
Sans paroles
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| 27 janvier 2016 - Forêt de Soignes |
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| 27 janvier 2016 - Forêt de Soignes |
